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- '11- de l'Eglise, ses dépo1iillrs rnor! clles furrnl lr;111spclr– t ()CS dans le cime tière d11 rnonl l\i rna ss e ;1 P::ris, cl L'I , au milieu d·unc assisl;:incc nornbrcu se , formée de s re– pr(•scntanls des di\'erses soci élé s sav:intcs ;iu:x quel les le délunl avait apparlcnn, parn1i !e!-'q ll eis 011 com plait des pro lcs lnnls , des sccp liq11cs, des rn a t érialis~es , des alliées, M. Ceri!-'C prononça s11r la lornlJc de !'On ami un discou rs, dans leque l , il Ill une con !'css io11 p11bl iq 11 c de sa fo i. en proclanrnnl haulenwnl les grands pr inc ip es de la religion, la spiritu;di lé et lï mrno ït alil é de l' àme , l'ac li on de la Providence di vin e su i· la vie e t la mo rt des hommes, les pci11es e t les récompenses de la vie futur1>. Certes, vous l' avouerez, Messieur::;;, il f'ailail un ce rtain co11ragc pour ose r teni r un pareil lan gage en présc11ce cl'u11 parei l audito ire; mais ce con ra ge., noi re doc lem le tro uva dans l' ôncrgie de sa foi, cl dans l'i11dépcn · dance de son caract ère . Ces grands principes qui sont des qnesti ons viln– les pour la soc iété conirnc pou r lï1omrnc, M. Cerise les a tou jours profess és cl touj o11rs vengés dans ses éc ri ls du mépr is el des sarcasmes des inc rédu les . l i s'est sur lon l attaché 6 corni ia llre avec toutes les ressources de sa puis:-:a nt e nature le froid el ahru– tissa11L maté rialisme qui trouve un trnp gr:1nd nom· hre d'adcp les da ns les écoles cl les f°;i \; 111\és de rnt'~dncine . La seule idée de ne voir d:ins l'hom1ne qu'un enfa nt du haza rd, qu'u ne pure machine plus ou moins régu li ère , qu'un vi l jouel de la fat ali té , cl dans les phénomènes de son intelligence, une si rnpl c agita lion li es molécules co rpornllcs, soulevait en IL:i une ré-