BASA

- '12 - 1111lsi011 vi oie n le , un pro fo 11 d dégoùl. 0;111 s 11 nc con– vc l'sa li 011 sw· cc sujc l, il nous disa!l 11v1~c l'acce 11l indigné d'une conviclio11 i11<~bran labl c : Cc n·c s l pas sculcrncnl mon esprit, mon cœ11r, ma conscience, mes éludes qui repoussent de Ioules Jeurs forces un système a11s s i désll ono ranl pour la scie 11 cc que dé– gradant pour l'hurna11il<\ c'l'sl encore mon organisa– tion physique, inlcllecl11clle cl morale toul entière. l\1ais la preuve la plus irrél'ra gablc de la si 11c<"rilé de s:-i religion, c'csl la 11 1ise en pratique des dernirs qu'elle impose . Or, Messieurs, il esl avérù qu e M. Cerise le s rcrnplissaiL sans o;;lcnlalion co111111e s;111s faiblesse. Plusieurs de nos co11 ciln~·c 11s se rapp cllcnl l'ilvoir v11, avec une si ng1iliè rc édifi cation , assister ù la 1nP ssc d;ins noire Ci.llh<'dralc, non pas :-ivec des a llures irrcspecl11e uscs lrop cornrnuncs aux hon11nes, ll!Llis d;111s u11c attitude rec ueillie, ù ge 11 011x, s e~; heu– res de prières en 1nai11 cl sous ses yeux, lm1va11t ainsi lo11l res pect humain, el dcdaign;:rn! le pcrsiliagc de ces esprits allardés, ltnrgne ux , étrangers aux étu– des reli gieuses . cl donl la );ngessc co 11 sis lc ù IJl:is– phérncr cc q11ïls irJ1orcnl, el ù viHc en p;1ye11s duns une sociétè cl! r ~·liennc. Tel l'ut M. le docteur Ce rise, tel nous l'avons con nu. Esl-co ~ dire, Mess ieurs, que dans le cours de celte cxislcnce si noble, si pure, uuiqucrn cn l consacri!e ù b cullur<~ des sciences, ù l'exercice de son 111inistèr(', aux œuv re s de hic11foisa11cc, ù l'acc ornplis~cmcn l d('S devoirs de fo111ille cl de religion , est-cc ù dire qu'il n'y a 011 ni écnrl, ni !ache, ni erreur, ·el rp1'elle se soit écoulée inofl'cnso pede cornrn c dit l'école ?

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