BASA

Cc n'csl p;is f;'1 no!n~ pcnsér., cl po11rquoi la dissi– mulerions-nous? Esl-il 1111 astre qu!, dans s;i m;irche si rl~g1tli(~ l'C q11'c!lo soil, 11e ~onffre quelque éèlipsc? Et le soleil, le plus l11111ineux de lous n'est-il p;i s celui qui e11 souffre de pl11s grandes cl de plus sen– sibles? li ne nous en coôlc donc pas de rcconn;iîirc cl d';i\'oucr q11c dans ses prod11clioris lillérnircs les idées de 1io lrc docle cornpalriotc n'onl pas toujours élt) con formes ù la sa i 11e orlli odox ie, cl qu'c 1 ies conticnncnl rp:c lq::es erreurs. Mais ces erreurs, to11t l'ensemble de sa conrl11ilo nous ;iulorisc ;'i croire qu'elles ont été le résultat <li~ !'ignorance, pl11!ôl qu'une négation réfléchie cl éclairée de la \'érilé religieu se. Mais ces erreurs ne s;rnraicnl étonner, quanil on voit des prêtres, des prélats, des hommes vcrst'~s dans los sciences sacl'écs ensei gner dos hérésies q11 ' ils sont obligés do rétracler plus lard. Mais cos erreurs s'expliquent, san s se jnsl.iflcr, par la nature ar due des question s psycho logiques qu' il traitait, lesquelles ne püll\'aie11l ètrc sagernenl rùso– l! 11~ s que par les donn ées d'une ha ute mét;ipllysiqtw d ir igées par celles de la Lli éologil' . Or uotre 'célèbre rn r'·decin n'étail pas ihéologio11. Mais ces erreurs qu'aucune autoritt'~ reli gieuse n·n condamnées, ne los <J·l-i! pas n\tracl6os irnpl icit eme11t par sa soumission ù l'Eglise, par la réception do se s s ;1 crcmcnls el par les l~diO a nls exe mp les qu'il a don- 11és dans sn dcrniôre maladi e. L'hornrne qui avait vécu avec la foi · du chrétien devait mourir avec ses espérances: c'est avec clics,