BASA

la certitude de l't'.doi gnc r touj ours d ;1Y é1n lé1 gc cl de Io voir enfin di sparaît re. Celle consolante pc rspccl ivB est de nntnre à ad oucir les iwines cl ù c;-il rn er les répugnances que le rega rd jeté s11r un passé m~dh eu · reux pourra facilement soulever dans vos cœnrs . Un de mes collègues ·a déjù publié sur la triste époque dont je parle des aperçu s reli gieux cl s lali s– liqu es d'un méri le in con te s table. Mais cell e pulJli – c;ition n'en visa gea nt l' épitl érn ic qu'ù ers deux points de vue, ex primait le dés ir de voir un e autre publ ic ri– tio.n s'occuper de la parlif! qu'elle omellail de plein gré. Tous ces motifs réuni s m'ont décidé à essaye r une eelalion qui montre combien je souhait e, en réponùa11l li vos vœux, d' ê tre ulile ù mon pays. Je n'ai pas la préteÏ1lion de foire une hi stoi re rnmplètc des évé neme nts qu i se sont passés sous 10s yeLlx durant ces malheureux jours, ni de nw ivrer à la . di scu ssion c l à la crit ique de . certains 'ails el de certains procédés , connnc j' en ·aurai s iarfois la tentation. A l'ex.e.mple ùc la Commiss ioll :hargée de distribuer les récompen ses, je ne men· ionnerai pas, ù mon tour, le s norns ~le ceux qui se ,onl le plus di stin gués par leu r rare dévo11emc11t nvers les cholériques (1). Mon projel es l plu s simpl e. e dirai ce que .i'ai vu, les observations qu e j' ai l'a iles, es principau~ phénomènes de la mal adie cl les allu res 1u'e ll e a prises dans notre vallée. Cc sont des noi es •ni suffiront, je l'espère, pour don ner une id t'.~o des araclères gé néraux de l'épidémio qu e nous ve nons e traverser ; c'est toul ce q110 j'ai voulu fa ire. (1) Voir les journaux des moi s de juillet el <l 'ao ùl 1869.

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