BASA
- 2G - 1udes, de l'insomnie, une chal eur à l'estomac, des douleurs aux hypoco ndres , des nausées, de l'ano– rexie, el à cela vena il bi enlôl s'ajouter un e di arrh ée Lilieuse. Quelquefois le chol éra a débuté p.ar Je vertige. " J'élnis un peu indisposé depuis quelques jours, me disai ent les rnillades, puis tout·à-coup la tête m'a tourné, et voilà le resln. » Voici, à ce sujet une observation qui me paraît digne a:être rapportée. Le garde-chasse de Saint-Marcel m'avait. prié, un jour, d'aller voir sa femme atteinte de la malaqie épidé– mique, dans un villuge un peu éloign·é de celui où nous nous trouvions alors.Nous nous dirige~rnes aussitôt du côté de son habitation; nons étions tous les cieux bien éloignés de nous attendre à ce qui . all::iit arriver. Pendant que je visitais sa femme, je le vois tout à coup tourner sur lui-même, chanceler comme un homme ivre et tomber sur le plancher de la chambre. C'était Je commencement d'une allnque; elle avait été précédée depuis dcrnx jours par un peu de cfü1rrhée el de faiblesse avec tendancr,. aux sueurs; la terminaison en fut heureuse. Les allaques qui ont débuté pa1· le vertige m'onl paru avoir géné– ralement .une plus grande gravité que les untres. Chez un grand nombre de personnes, el surtout chez les enfants, la .maladie se compliquait de !,' affection vermin euse. J·ai vu une fcrnm.e âgée de 50 à 60 ans, rendre une grande qu::intilé d'a scariùes lornbricoïdes, vivants el roulés en pelotons. Lorsque je pouvais m'assmer de l'existence de celle complication, ou seul ement lorsque je la soup– f!.)ntrnis, je faisais usage du sémen-contra ou de la décoction cl du sirop de mousse de Corse.
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