BASA

8 - 11 est qù es ti on d' un bras de sta tue en cuiv re, el d'nn mortier en bron ze ou vragé; l' nn el l'autre obj et sem– blent appartenir à l' époq ue romain e. M. le Prés id ent . voudrait que)' on ac hetât ces précieux res tes de l'a n– tiquité, el Lous les obj ets de ce ge nre qu e l'on pour– rait trouver dans le pays. Mais comme les ressources financi ères de la Société ne suffi raient pas à un e pa– reille acquisition, il propose d'ouvrir une sou scription parmi les membres résidants, à l'effet de procurer à notre musée un e coll ection plus compl ète, et de con– server à la Vall ée les trésors archéologiqu es qu'elle a hérités de la civilisation romai ne . L'assemblée go ût e parfaitement les idé es de son vénP,ré présid ent; mai~ les membres présents , et en– tre autres M. le chan oin e Berard, trou ve nt un incon– vénirnt grave à la mi se en exéc ution des moyens proposés. On craint qu e la souscription à ouvrir ne paraisse un e surd1a rge ajoutée à la coti sation annu– ell e. En con séq uen ce on prnpose de crée r un e nou– velle société dépend an t de la Société Acad émi que et constituant un e sec ti on spéci al ement des trné e à faire pratiqu er des fouill es et à recu eillir Lous les obj ets antiques de quelque imp ortance. Cett e sec tion p'our– rait ten ir ses séan ces clans la sall e ordi naire <l e nos séanc es aGad émiques , et établir son mu sée dans le même local au moin s, si ell e ti ent à ne pas le con– fondre avec le musée académique. M. le Prés id ent prie ses coll ègues de. vouloir bien examiner encore celle qu estion , et de chercher une solution qui, san s aggraver les obli gations des mem– bres de la Société, ne pri ve pas cependant ce corps de l'honneur et du mérite qu 'il trnuverait il sauve-

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