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- tG - tettres patentes contenant un règlement des po;d s r.n faveur des citoyens el des bourgeois d'Aoste, notre prélat sign a celle cliarle en qualité de témoin con– jointemen t avec le seigneur Aymon de Challant, gou– verneur du duché. Le même jour, il intervint à un acte passé aussi à Aost e, par lequel le comle de Sa– voie accorda â ses c11ers fidèles lwrnmes et bou1·geois d' Etroubles el Je St-Oyen des franchises concernant les forêts, l'affouage etc. Ces priviléges furent confir– més largement le 22 juillet 139i. Le comte Amédée VII déclara alors les habitants d'Etroublt>s P,xempts de certaines exactions pécuniaires, dont les frappaient les baillis, les châtelains el autres offici er:;, el leur accorda l'aulè:>risalion d'avoir un poids et une mesure pour la vérification des marchandises sur le lieu. Le même jour, notre évêque signa comme témoin les lellr;es patentes du comte de Sa\'OÎe contenant la con– firmation et l'ampliation . de franchises cl de privilégcs en faveur des citoyens el bourgeois d'Aoste. Antérieu– rem~nt, c'est-ù-dire le 8 juillet, il était intervenu ù un acte dressé à Aos~e, où Amédée VII renouvela la ·concession faite déjà au bourg de Morgex de tenir le marché tous les mardis. Ce privilége était très-étendu; il impliquait un ~roit de monopole pour la place de l\Iorgex, de façon que les habitants du Valdigne ne pouvaient conduire leurs marchandises ou leurs den– rées à d'autres marchés ni à d'autres foires, avant de les avoir· exposées en vente à Morgex. Tous ces ac– lr.s, auxquels se trouve mêlé le nom de l'évêque d'Aoste nous semblent une page de l'histoire de notre pays digne d'être connue. Nou s avons mentionné le nom d'Amédée VII, dit