BASA

- 12 senl de légèreté, sinon de vaine prétention, une So– ciété plus digne d'égards que de critique. M. le chanoine Laurent s'est occupé de cette ques– tion, et il lit les premières pages de son travail sur fo lieu d'origine du personnage éminent que M. Du– cis revendique pour la Savoit!. Le mémoire de M. le chanoine Laurent, ainsi qu'on l'a dit, avait déjà été ébauché par M. le chanoine Bal; aujourd'hui il paraît enrichi de nouveaux arguments, de pr1füves plus décisives et sous nne forme qui en font un uU\Tagc propre à son dernier auteur, et sm– tout une réponse péremptoire aux assertions de la Revue Savoisienne. Séance du 7 juin 1872. M. le chanoine Duc, Vicl\ire capitulaire, donne con– naissance à l'assemblé3 d'untJ letlre qu'il vient de re– cevoir de M. le chevalier Aubert de Paris. Dans cette lettre l'auteur de la Vallée d'Aoste annonce qu'il a adressé à la Société Académique d'Aoste la troisième et dernière livr::iison de son ouvrage sur l'Abbaye de St-Maurice en Vallais. M. l'abbé Duc, vicaire de la catl1éclrale, lit ensuite dans son mémoire déjà cité, la série des prévôts de Verrès qui Sè succédèrent au couvent de St-Gilles de 1379 à 14~7 . .M. le Vicaire capitulaire continue à son toùr la lecture de la biographie de Mgr Fenandini. Il mon– tre ce vénérable prélat établissant des paroisses, al– lant à Avignon de la part de son :-;ouvcrain, faisant

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