BASA

- 25 - end1·oiL 1•lus proch e el plus commod.~ pour déposer cl -garder l1~ s provisions, rece\'oir les quêtes, les dî– mes, les cens; pom le changement d'air et pour une relraiLe en cas de maladie. J'y ai déjà fait quelques réparations et achelé qudques meubles. " 2° La ferme de l'lslP, qui. avanl les guerres, éLait la meilleure porlion ùes biens du Petit-St-Bernard, et où faisaient leur demeure ordinaire les économes de ce Lemps-là, est aujourd'hui (l 7'25) déchue de celle qualité à cause des dégâts qu'y ont fait les troupes françaises ... _La réparation de près de cent toises de barrières, foile celle anné0. le long dù Lorrenl de Ver– soy, a coûté deux cents livres en argent sa11~ comp– Ler les vivres y consumés... Celle grange ne donne qu'un revenu de L. '140. On y avait un four et un moulin qui sont encore en ruines. La chapelle a .déjà été remise en bon état avec ses ornements. « 3° La ferme de let füwoire dans la paroisse de Haule-Ville-Gordon , consi sla11L en domiciles, prés, champs, bois et vigne, de la rente annuelle de soixante et dix livres, avec une montagne dite la Berge, dont le loyer ne paye pas la reco11slruclion du chalet que la neige a écrasé cet hiver. « 4° La montagne de Plan Gerbier avec les Lanches qui est la côle septentrionale de l'hospice et le plan depuis la seconde perche proche de la colonne, jus– ques à la maison au-dessus du chemin. Outre ce, le communage que la commune de Séez veut enlever, et la monLagne de Lalay que l'on a acquise depuis peu. Plusieurs personnes me disent que je ne pos– sède pas les acquêts que feu M. Duclos a faits, non plus que certaines rentes constituées. Et cela est vraiJ