BASA
26 Ci.li' tout Cc) que dessus est du fond du IJé11éficc · Je la Colonne. " 5° Les cens, servis et aumônes en blé, seigle, orge, avoine e~ argent seraient d'un grand secours, si les reconnaissances n'étaient pas si anciennes; les plus récentes sont de 1682 et de 1683. . « 6° Les dîmes que je perçois dans le comté de la Val d'Isère el le marquisat de St-Maurice ne sont pas en trop bon étal; car celles de Mont-Valaisan sont presque réduites à rien, n'en ayant que le Liers; et celles de Séez sont si mal payées, qu'il ne m'en reste rien pour la peine de les rec.ueillir, allendu que sur celle dîme, il me faut donner Lous tes ans au comte de la Val ·d'Isère cinquante-huit setiers, sarnir: trente d'orge et vingt-huit de blé-seigle... Je n'ai pas encore pu yoir le Lilre qui nous y oblige. Il doil être à Sl– Jaqueme, dans les archives. )) 7° Il faudrait ajouter ici le produit des quêtes · qui se faisaient selon les règles de l'/1ospilali1é établie soit au Petit soit au Grand-St-Bertuird par le saint fondateur. Je n'en connais pas la quotité. Celte quête au profit de Colonne-Joux se faisait dans le Valdigoe dès avant la moilié du xvnme siècle. Elle eut lieu l'année 1725 encore; puis une leLLre du Pré\'Ôl de Monl-Joux dé– fendit de la continuer. Il paraît hors de doute que, depuis la réunion de Colonne-Joux au Grand-St-Bernard, ce sonl les pré– vôls de Mont-Joux qui ont administré ses a\'Oirs par divers économes simultanément, dont les uns soignaient )es biens situés dans le duché d'Aoste, el les aulres ceux de la province de Tarentaise, sans dépendance réciproque. Chacun d'eux exigeait les rcnles des éta-
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