BASA

- 43 - - nourriture aux pau\'res pél erin s, pour autant qu ' il s'e n présent e: " Recipiendi et nutricndi 71au1u!1·es scilicet 11e– rPg1'inos , quotquot rulvenerint. » Le mêrn e acte ajoute riue le rec leu1· ex erçait de faiL l'hospitalit é , " et ex– hibet hospitalitateni. " Sans dout e M. le chanoine rem– plissait cc devoir par les personn es qui le remplaçaient à la Balme. " A la famille Buthorly succéda dans l'administration de l'hôpital en question la famille Grognon . » Ce sera don c celle-ci que les recteurs suecess if'::; chargeaient du soin des pélerins. 6. Les pél erin s, les religi eux et les religieuses avaient l'hospitalité à la Balme, el, au besoin, ils y séjournaient qu elque temps. Le GJ7 sep– tembre 1773, deux religi eus es y lo gè rent, et on ob– serva qu'ell es pri èrent avec un e grand e ferv eur pour la maîtresse du logis (hosp,i cc) , crui souffrait beaucoup. Ell es furent exaucées..• On y donna l'hospitalité en 1800 encore. " (note au ss i de M. Gal. ) A celle épo– que pomtanl, on allril.Ju era la continu ation de l' hos– pitalité à la pi euse générosité de la famille Grognon, parce crue les revenus de l'liôpital devaient avoir reçu un e autre des tin::ition. Vers 1780, les habitants d'El éva, autre hameau de Pré-St-Didi er, voi sin de la Balme et constituant un même quartier av ec ce dernier vill ~ ge , désirai ent ar– demment obtenir l' union des avoirs de l'liôpital à ceux de la rectorie, érigée au rn êrne enclroiL de la Balme , et rappro cher de l~urs maisons l' habitation du recteur. Mgr Sol ar, lors de sa visite pastorale faite l'ann ée 1786, décrétait en suite de leur dern :rnde . : « Ayaut vu et cxnrniné la fondation de la rectori e

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