BASA

55 qui se rit ùes sarcasmes de l' impi e ! Ne cesse pas de marcher à la lu eur de ce flarnu eau divin, tanùis qu'a11lo11r de toi Satan se111ble avoir av euglé les plus clairvoyants même, et leur persuad er qu'on prnl se passer de Dieu, de sa religion el de ses prêtres. 0 bienheureux Vuillerme, vous l'avez sucé avec le lait de votre n1ère cel esprit de foi, vous l'avez inocul é dan<; l'âme de vos paroi ss iens compatriotes, el du hanl du ciel vous ohlenez, par leur puissante patronne la mère de Dieu , qu 'il pa sse de gé11ét'ation en géné– ration jusqu'aux derni ers de leurs dcscend<tnl s. Les siècl es qui nous séparent du vôtre ont sans interrnp· Lion donné de saints mini stres à l' Eglise, comme d t!:-; citoyens dévoués à l'Etat. Lr.s nobl es famille s Léaval (1 ,, de l'A rchcL, de Runa, puis des Maillet, des Ceri se , des Tilli er, de Pasca!; les Rernondé, les Jacody, les Ilizel, les Vellicoz, el d·erni èrern enl en core les Va gncu1· el les Favre , tout es ont fourni leur glori eux conli11- genl au servic e de la société reli gieuse el civil e. Puisse sur ces nobl es et antiqu es souch es repullul er un e pé– pini ère de ferv ents chréti ens, dont l'amour clu travail, le goût des sci ences et le zèle de la reli gion fa ssent briller d' un nouvel éclat l'ancienne gloire de l' égli se plébaine de la Valdigne. (1) l\lgr Duc, alors Vicaire général du diocèse d'Aoste, a fait imprimer de11x notices sur le bienheureux Yuillerme el le vé– nérable Michel de Léaval. (Mensio, 1872).

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