BASA

- G7 - lion, le recteur devait dire encorr~ 12 autres mrsses, une par mois. Mais le cens de trois setiers de blé et vin affecté pour ces 12 messes, ne se paie plus, el le manqu e de titre suffisants pour obtenir ce paie– ment à l'avenir ne laisse aucun espuir de l'avoir ja– mais. « 3° La même seconde fondation . oblige le recteur à maintenir nn lit pour les pélerins et les passants qui se réfugient au dit hôpital, pour le coucher seu– lement. Mais le lit .ne suffit pas pour la plupart, il faut le souper f'ncore, le dîner q11elq11efois el palla– des (sic), de sorte que le recteur, en moyenne, doit dé– penser pour ciboir.ts pour ïes passants, environ une pis– tole, sans y compter les aumônes joùrnalières qui se font à la porCe du dit hôpital en pain seul aux pau– vres habitant~ ' et ·mendiants dans le lien. « 4° Le R. Hollanier, curé de Pré-St-Didier, dans son leg, èxige qu'on tienne 1fn second lit pour les pélerins et passants patentés parlicuiièrenient · selori les règlès du bureau, qu'on tad1 e d'obtenir, quoique cependant bien d'autr es non patentés soient souvent reçus, quand la nécessité des dits passants le demande. « 5° Le reCteur est astreint à la résidenc e dans La-Salle; à aider .M. le Curé local dans le service de son ministère, quand le curé et son vicaire ne suffi– sent pas ; el à enseigner les petit es écoles moyen– nant un salaire convenabl e. l> (Ainsi l'é'tat de 174~.) En cédant la rente de L. 80 annuelles, capital L. 2000, 1\1. le chanoine Plassi er demande que le' rec– teur se prêle pour entendre les confession s, exerc er' la fonction d1~ diacre ou sous-diacre à la réquisition du curé, et fasse célébrer annu0llemenl à ~1. le Curé une