BASA
- {j !) - pour les donner à M. le Vic aire (Prinr. e) qui ~ en– se ign é le latin à un certain nombre de jeunes çens qui, \' ers la fin de l'année, a été réduit à cinq. L'on se propose de prendre sur les revenus tle l'hôpital pour passer un subside au moins aux plus pauvres de ces cinq élèves, dont trois étudi ent sous M. Prince donné pour curé à Valgrisenche dès le commence– ment de 18'27, un à Avis,e, et le cinquième sous M. Perrnch, vicaire actuel de La-Salle. < Selon le décret de la royale Délégation, il devait y avoir qeux vicaires, l'un enlretenu par la commune, et l'autre sur les revenus de l' hôpital, soit dans la personne de son reclem:. C'est ce qui fut toujours exécuté jusqu'en 1811. «: Le bénéfice, étant devenu vaca nt par la nomina– tion de M. Vellicoz à la cure de Villeneuve le 18 juillet 18'11, fut administré avec les nutres biens de l'~glise par le conseil communal. Lorsqu'en 1816, l':Îdministration des biens ecclésia stiqu es fut rendue aux · curés, le conseil de fabrique reçut cc que la commune lui remit, sans exige1· la reddilÏ'on des comptes du passé. <t. Il paraît même que le conseil communal laissa le tout à l'abandon, entre les mains de quelqu es parti– culiers de bonne foi. En 18'25, .à l' entrée de M. Bo– zon dans . fa cure de La-Salle, l'hôpital maurici en d'Aoste, voulant restituer quelque somme à l' hôpital Je La-Sal!e, refusa de payer ce capital au conseil communal, comme étant de l'unique compétence de la fabrique. Le nouveau curé fit réunir le conseil J e fabrique et nommer un procureur qui retirât l'argent et en passàl quittance. Dès lors les avoirs furc11t e111-
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