BASA
- 70 - ployés, comme il a été dit à .Mgr Agodino, pour rem– plir les Lhargcs de l'hôpital, el pour subsides aux pauvres écoliers. » L'âge de l'indiflërence religieuse vient poindre sur notre horizon avec l'a11née 1833; la sornn1e bdancée par la commune pour la pension du vicaire l'ut :,up– primée. «.Voyant que la rectoriP, de l'hôpiLal, l1 cause des sages épargnes faites dep11is quelques années, a– vait suffisamment de rentes pour entretenir le vicaire, et remplir les obligaLions, le conseil communal, de concert avec le conseil de fabrique, consenti.Là pren· dre sur les renles de l'hôpiLal pour l'enlreLien du vi– caire existant , _comptant que, lorsqu'il plairait à Sa Gran.deur de leur donner un second vicaire, M. l'in– tendant et Mgr !'Evêque obtiendraient de la commune qu'elle accomplit son obligation, en bilançant de nou– veau la pen<:ion du vicaire. " Ainsi fut ·expos2 à Mgt· Jourdain le 14 novembre 1836, ensuite d'une délibé– ration communale tendant à faire confier au conseil comn1unal l'administration des avoirs de l'hôpiLal. La paroisse de La-Salle avait alors (1836) deux vicaires, dont un resta à la charge de l'hôpital, et l'antre de– vait avoir sa pension sur le budget communal. Par acte enfin du 28 avril 1844, Donnet Fréderic notaire, se fonda une nouvelle reclorie à La-Salle avec les revenus de l'hôpital, évalués à L. 400 en– viron de rente, plus les biens-fonds du même don– nant L. 150 de loyer. La fabrique ajouta la somme annuelle de L. 300. Mgr Jourdain approuva le tout, sous la Jate du 1 l se1Jtembre '1844. Tel fut l'apanage constitué pour le nouveau recteur, et telle fut la fin tlc l'hôpital de La-Salle. Avant celle érection de ·1844
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=