BASA

- '18 - la tradition dan s ln question qui nou s occu pe . Je ne ci tera i que deux !ail s à l'appui~ de celle assertion: j'emprunle le premi er loul à fail réce nt, à l'histoire de l'ég li se de Milan, Je second à celle du pays même de notre illu stre pontife. On sait que lïnvenlion des corps de S. Ambroise docteur, el des saints mnrl yrs Ge rvai s el Prolais a cu lieu à Milan, le soir du 9 <JOÙL 187L ils avai ent été placés dan s une urn e eu porphyre , sous le maître. autel de ln cathédrnle, par J'<Jrch~v ê qu e Au gi lberl II. Or, dès celle p.récieuse découverte, on ex <Jn1ina el étudia minutieus emenl les plu s petits détails, les moi11dres circonstances dans lesqu ell es avaient été trouvées ces saintes reliqu es; mais ell es furent loules reconnu es parfait ement cl exac temen t conformes aux vieilles traditions Joc<Jlcs . Nous trouvons un l'ail identique dan s l'histoire du B. Vuillcrme, né toul au plus à la distance de deux kilomètres du château de Le s-Cours. bercea.u du pape Inn oce nt V. li montre lrop combieu l es traditions re li g icu s~s se sont conservées dans cel1e localité, pour que 1'011 ne nous permell e pas de Je citer loul au long lei que nou s le lison s. dans le Mémoire a1Jologétique pllblié derni èremen t sur le culte de ce hie11he11reux. Eq printem ps 1687, l'ég li se pllroissiale de Morgex était en voie de reco11slrucl ion , sous la direction des 11rcl1itcctes Jacqlles Z.ane llaz et J.·B. Vcrselloz du V11l-Sesi•1. E11 creusant les fondations d'un pilier, les lravaill enrs mirent ù déco uv ert un ancien mo· nument ·et des osse rncn !s, que l' on crul être ce ux clu bienheureux Vuillermc. IrnméJjutemcnl les tra vaux

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