BASA
- 21 - so11bs des dits oss emen ts. il y [IVOil une grnndc pierre sernl.da !J!e ù cel le qu i couv rait le dil to :11lw nu, c l deux aut res aux deux coslt:'s . de la me s n1 e lon– gueur et t.oulles d'une pi écc, avec Pncor de ux aut res aux deux ex tr ém ités tl e la le s te e l des pi eds, Loutl es bi en cimentées el joinct es ensemble excepté ce ll e de la leste qui eslnit détach ée et pa r où on avnit découvert le d1l tombe au qui es tai t trois bons pi eds el dern y enfoncé en terre. ~ C'étaient bien lù les restes mor tels du b! cnlictt– reux Vuillermc. L'end roit !l 1's ig-ué pa r la croynncc générale, le cali ce et la pa tène r e11l'ern1 ôs dans le rnèmc lotrib ea u ne perrn e llaicnl pas d' en douter . E n effet, ancienneme nt le s eccl ésinsliqu os et les personnes recoinma11dnlil e s par le urs linules vertus avnicnt seuls l'honneur d'êlre enseve li s dans l'en– ce inte des églises. Ce ne fut qn'nprès le sep ti ème siècle que l'usage pré valut d' y donn er pi nce :1ux si mples fi dèl es . Les pe rso nna ges dn di slinclion é tai ent ~ussi enseYe lis ave · le urs it1signes. De lù, rexis lence · de vnscs sacri' s se rv ant nu St-Sacrifice, et de sand a les. dé 11otni enl, à co1 1p sù r, le lo1n be:rn d' un prêtre. Observons que l·~s sandales 1)tai ü11t autr efois une chaussure indisp e nsnb le pour les mi– nistres qui mont aient au saint autel; ain:; i le po rle un cn non in sé ré aux Capitu laires de Charlemag ne . Tous ces indi ces fortifiés par la tr ad iti on pop11ai re é tai ent bien de nature à produire dans les esp rit s la co nvi cti on que l'on élail lo rnhé jusle su r le lo mbea u du bi en!J eureux Vuillerme . » Ces deux exempl•~ s nous démontrent ·que la plu – par t t.les circonslan.ccs el des particularités co u si ·
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