BASA

- 28 - ~ 83 '1, rpoq ue OÙ j' eus Je plaisir de YOllS Yfl Îl' à Aos te, j' avnis ces m ê me~ note s. Je ne pouvni s soup– çonne r alors qu'ell es vous se rn ienl agréab les. Elles seraie nt en core re s l ~cs en foui es, sans lé réc it qu e me fil le cnpucin de Th onon , qu e vou s ne par– tagiez pas mo n sc 11 li me11l sur ce , je fü me s noies tell es qu e je vou~ les envo ie. Si vo tre l{'t tn i m'é tait parvenu e avan t mon envoi, je l' au rai s susp~udu pour <1 nlendre vos rai so ns. J 'avoue que j'él:.: is dés ireu x que vo us ne nous vo la ss iez pas un e de no:-> plu s g rand es gloires. • - M. le chano iue Mi lli on se moqu e de ce chroniqueur, dont 11 ous auron ~ enco re occasi on de parl er. Voici encore un extrait d'une le tt re de Monsie ur Je chan oin e Clt evniy , di gnL' ecclésiasliqu e , auss i rcc-0mmandab le par sa ve rtu qu e par sa sci en ce. ~ Chambéry. 'l9 de 42 . « Les li tres nornù re ux que vous cilez paraissen l assez graves . Ne pou rrai t-on pns di re que la fom ill e de Ch;1111 pagny éta it all iée de celle De s-Co urs ; c' es t pourquoi cell e-ci avai t IP,s nrmC' s et le po rl rai l d' Jnno– ce11l V? Les archevêq ues Her luin, prieur de Sl-Ou rs, Uodo lph e 1 e t S. Pier re IIl n'ont ils pas pu occa– s ionn er Ct)S sor tes d'al li ances ? « Je n·ai jamais vu l'ouvrage de M. Jh Ma ssa , je vou s reme rcie de me l'avoir fa it connaître : je tâcherai de me le procure r. " Vo us voyei , M. le chanoin e, que je commence par répo ndre aux obse r va tions qui se lro uven l à la fin de votre excellent Mémoire. Je poun ai plus