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- 31 - il lustre compntriolc guère plus hourcux dan s leurs conj ec lures . Voici au re ste comme ils soul jugés par les leurs. " M. Paul Coll et est un touri ste humor istirpie qni a tra ve rsé nos vnll ées , en recueill aul rles rens eigne– ments de la bou che de personn es souvent forl mal ren se ign ées; il ne pul pas en foire le jusl~ tri:ige. Il se laissa imposer; ou accueillit nvec une incroynble Jf>gèreté, des fauss etés historiq\les » (1). Cel auteur fait naître Pierre Des-Cours, à Champagny. « Une autre opinion, continue M. l'abbé Million, assez mal fondée foil descendre Pi erre de Tarentaise de l'ancienne souche des Ruffler dû Challlpngny. Cc sentirnenl, pou r lcq11 el militent des traditions peu préci ses, l'ut hardinrnnl livré a11 public par l'a hhé Bonndoy, en ·184L dans un article qu e p11blia L1l– loù roge de Grenoble (2e année, pa ge 18). Cel auteur gé11éralement reconnu pour un chroniqueur snns cri– tiq11e , était un gé néo logisle maniaque el complaif':ant à l' excès; tell e es t la répulalio11 qui s'a llachanl ù ses pns, le suivait comme son ombre ,, (2). ~ Besson (e n soutenant le même sentiment) était peu co nvai nc u, el, en produisanl celle opinion, il ne faisait qu'un ncl e de complaisance " (3). Toul es ces tergiversa tions cl le sil ence des nuleurs (1) Echo des Al1ies, 13 mars 1870 N• 9. (2 ) Echo des Alpes, 20 mars 1870 N• 1O. (3) Echo des Alpes, 27 mars 1870 N° 11.