BASA

- .{(j - aurions hientôl rcnd11 j11slicc ù lui et ii Lous ses p(Jrlisans. Nous serions cnirniné trop loin, si nous voulion s disserler sur tout es les in exnctiludes hi:;to– riques de ce luxu eux Memoire qu e so11 auteur enfin Loul glorieux de son œuvrc e l sùr de son triomph e te rmi 11e pornp e11scrnent ainsi : " Si 1011t cela n'a été dit (après n'avoir rien dit >> ou n'avoir dit que des fo11sselés ) q11e pour trom per " la post1'•r ilé , nos conlraclicteurs pC'uvcnl sout eni r, )) nvec la même assmance que S. Anselme, :irchevê– » que de Cantorbéry, n'êolail point originaire de la » vallée d'Aos te . " El sïl suffit d'un vole acaùérniqne po11r 111(~ll re '' au p:rnier tous les do c11mcnls historiques, je puis )) nssurc r q11c l'Ac;:iMrn ie de la Va l -d' bè re , si~ " lrouvn11l assez riche des gloires hi sloriq11cs de la " T:irenlaisc, 11'usera pa s de repré snil les pour sni11t ii Anselrne tl 'Aos le. ii Certes ! , La Vérité n'a point cel air imp~lueux. Non, la Société ncadérnique de SL·Anseirnc d'Aoste "n'usem pas de 1'eprésailles n El au li eu de renvoyer ù M. G. A. D11cis, archiviste d11 dépnrle111e11L de la Haule-S aY oic, à défa ul de preurns, du persifflage el de 1'0 11t rec 11ida11ce, comme il no11s en a donné l'exemple, n11 contraire elle lui adresse ses bien sincère s remrrcîmenls. C'est ù son provoq1wnt Me– moire que no11s devons rl';:ivoir aujou rd ' hui étab li d'une manière ù peu près certain e l'ori gin e val dô– taine d'innoc ent V. Sans lui, qui sait combien de Lemp s le s notes, que nous venons de publi er, seraient

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