BASA
encore restées ùans nos cartons? Grand mcrci _I don c à M. l'abbc Ducis ! Inspiré pnr un autre sentiment nous devons aussi témoigner noire reconnaissance à M. !"abbé Million pom l'intéress:rnle biographi e qn'il a publiée de notre illustre compatriote Innocent V. Nous lui pardonnons volontiers d'aYoir essayé de revendiq11er pour Moutiers cet illustre personnage. Un poë le a dit : << A tous les cœurs bi en nés" que la patrie est chère 1 >> Nous cr-Oyons que celle bell e passio n seule a p11 lui s11ggôrer cc 110\Jl e l;1rcin. C"cst aussi pour con– courir il son œ11vre que no11s avons rnis ln main ù la pl11me, heureux si les documents, que nous venons de mellre au jour, peuvent fJire connaître et aimer de nos chers CO!ll\Hllriotes celle gloire 11alionale, cc pontife éminent, qui, ninsi qu ' on l'a dit, joignit l'auréûle de la verl11 il la couronne du génie. Pour nous, nous sommes prêt si jamais un cloc11mrH1 t aulh8nlique venait plus tard ù 11011s donner le d1'– rne11li, ù le publier. Cassiodore a bien dil: Noùilissil/l i civis est patriœ suœ augmenta cogitare, et pugnarn JJl'O patria optimwn est. (Lib. 5. episl. 10.) To11lefois les Valdôlains ne le foronl j:unais au préjudice de la vérité. · Pour compléter noire travail. nous donnerons c1- après lu \Jiographie de notre illustre pape lllnocent V (*). (')Nous pourrions. ajoulcr que nous avons séjotirné plus d'une
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