BASA

- G3 - vous serai ent agréables. Elles seraient encore res té es enfouies sans le récit que me fit le capucin de Thonon, que vous ne partagi ez pas mon sentiment sur ce, je fis mes notes telles que je vous les envoie. Si votre lellre m'était parvenue avant mon envoi, je l'aurnis suspendu pour entendre vos rai sons, j'avoue que j'étais désirenx que vous ne nous volassiez pas une de nos plus grandes gloires. Mes notes n'ont été imprimées qu'au 1er cahier de la 2me année de l'Allobroge, que j'ai r eçu le 20 du courant. Je vous en envoie une copie, au cas que ce journal n'ait pns pénétré dans vos contrées. Je n'ai pu le faire plutôt parce que la seule copie complète ét:iiL à Greuoble. Je ne µui s vous exprimer Monsieur, le pl aisit· que j'ai ress enti à la réception de la charte jointe ü votre lettre, parce que c11 ce moment, je composais des notes sur u11e autre charte de 1425, qui embrasse t~ ute la h:rnte Tare ntaisr., et me donne occasion de faire conn aître des choses entièrement incounues, sur les châteaux, les fiefs, les familles nobles de ces quartiers. Je vous prir., Monsieur, de recevoir mes sincères remercîments. Si je rencontre qu elques documents qui regardent la Vallée d'Ao ste. je m'empresserai de vous les com- 1rnniqu er. Jusqu 'ici, je n'ai vu que des demois elles Je Challant, épouses des seigneurs de Villette-Chevron. Le rece nsement des églises métropolitaines est à ·ecueilli1· préciemement. Je désire vivement, Monsieur, pie votre obligeance m'en envoie une copie exacte et :omplèle. Il y a longtemps que je pense que l'archevê- 1u e de Taren tai se était honoré de ce titre av ant pos– ·essor. Mais je n' avais pas des preuves pé1:emptoircs.

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