= .1~1 = dô1ai11 du XVIII ,-; ièc le. que nos libérau.t n'accuseron t l>as d'èli·è trop clt!rical, le reconnait. " Ses s11cccs- « SCUl'S (dè MJr De Prez) ont du depuis. dit-il, in- (( fèudé les ruraux et ve11du jùsq.u'à la 111aison, à la « charge cependant de maintenir un àppat'Lemenl t< avec un certain nombre de lits pour y coucher '' les pauvres prêlres passants. » Ce nombre de lits, je le trouve indiqué dans une !iasse de papiers des affranchissements de l'évêché. « Lorsque l'hôpi- " lai de Nal.luisson fut uni à la mens11 épiscopale .. . « ce ful à condition pot1i· l'évêque de maintenir " quatre lits pour les pauvres prêtres pèlerins, de t< leur foul'nir le bois nécessairn à leur chauffage. « Voyant que la consll'uction nécessilée par la vé- " lusté des bâtiments ne pouvait se faire à moins « de millè écus petits, monnaie d'Aoste, somme « irréalisable ni avec les reve11us de l'hôpital ni ·" avec ceux de la mense épiscopale; Mgr Vercellin « crut sage de donner en emphythéose au noble « Laurent Vulliet et à ses héritiers le dit hôpital de (< Nauuisson, àvec jardin contigu el place, situé à la " rue de cc nom n ••• L'acte se passa le 11 mai 1641 sous l'obligàlion imposée au noble emphylhéose de faire les réparations et de suppor'ter lous les frais nécessaires au service des pauvres à loger. èette mème obligation de l'hospitalité passe de possesseur en possessèur, jusqu'au dernier feudataire, ~t ,le niédecin Louis César Foi'!'é. Une èrè nouvelle commence, les cens frodaux ont fait leur temps, l'affrélnchissemcnt en est décrtilé. Les com1nu1rns en payero11L Ie modiq 1e -1
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