Basa

= 58 = el Juge temporel de la cour cpiscopale d'Aouste .Jean Boniface Festaz, ùu 14 décembre '11345 au 10 Juin 1648, furent les lenaRciers du fief d'.4.med à Arpuilles dil le grnnd fief, el de ceux des verclières, de Farcoz, du grand pra soit charbonnier, de Raymondé etc. J,e registre susdit ne contient ni sentence définitive, ni acte de reconnnissnnce, el ii ne m'apprend piJs quels devaient êlre, à celle époque, les revenus de la commanderie de St-Jean de Rumeyran. Ils n' étaient pns toutof'ois réduits d néant, ni au seul cens de cinq s1itiers de seigle bonne el recevable, nvcc .cinq deniers payables chnque année à la fête de S:iint· .Michel, selon l'acte du 13 févriPr 1618 Guillaume Mochet notaire. Le très-révd prévôt du Sainl-Bernnrd Antoine Bulhod achetait ce que l'ordre de St-Jean· de-Jérusnlem avnit ù Aoste. au prix de neuf cents pistoles, et quatre vingts ducatons ce qu'il avait à Plou (Monljovel); acte reçu à Pont-Benuvoisin, Jacques lloreti notaire le 7 novembre 1654. Je ne connai~ pas toutes les condition s de ce .contrat, n'en nyant vu que la da le , mais je ne doute pas que, si l'hospitalité se donnait encore à Rumeyran q 11anù celle vente se fil, la maison hospitalière modèle du Sainl· Bernard ne l'aÙ continuée avec ùn surcroit sensi\Jle de générosité dans sa ferme de Bibian, voisinè rmmérliate de l'hôpital de Rumeyran. Aussi ne suis-je pas surpris qne Tillier nous dise que tous ses bâtiments ont été supprimés , d la réserve seule de la chapelle, d laquelle on ne clit pas même ou au moins que fort rarement la rnesse. Il écrivait lui, un petit ~iècle après la vente de t654 , el c1ui nous apprend_rn

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