= 5~. = que cel !J ô 1~ ital élail encore SU)' p,ieJ cl Lien bâH ilU milieu du xvnm~ siècle? Ses domiciles, pl11s, vieux de cinquante ans au moins que ceux de l'hùpital de Nabuisson, ;rnro11L sans doule denH111dè une reconslrnclion fo11da111e11\ale cl complète? el quel avanlagc immense pour les p.èl.erins de trouver à Bibian logcrncnl cl nourriture, au lieu d'on lil à H11mcyra11, sanii autre réfection; car la réédification de la maison hospitalière el sa rnanu-. ~enlion n'auraient pas lai~sé un centime de revenu disponible. C'est donc à lorl que M. Tillier a l'air de gémir sm l(l suppression des bâtiments de Rot'neyran, ~ moins qu'il n'ail écril depuis 1752, où les enfants de saint Bernard de Menlhon durent . . . ' . ' cesser de con.tinu.er leur eJÇercice hospila.lier dans les Elals Sardes. Mais qn'il se console, le Lemps fies pèlerinages esl passé: admirons p,lulôl el bénis· sons la providence qui a tourné au profit des pauvres malades, donl le nombre ne fait qu'augmenter, les hospices cl les secours q11'ellc avait préparés pour les pèlerins, alors que leurs cnravanes )Hissaient, JJos Alpes pour ::iller visiter le lornhe::iu de saint Pierre ~. Rome. 11 y a donc deux siècles el quatre lustres que l'hôpital de St.Jean de Rnrneyr:rn d'Aosto ei sa commanderie 0.nl dispnru (1). On pourrnit (i) o L'origine des cornrnancleries, écrivait-on il n'y a pas o longtemps, vient de ce qu'anciennernent les biens de l'Ordre o étaient en commun; et que pour les faire valoir on comrnellait ~' des séculiers qui en étaient ou les fermiers ou les receveurs l' et qui en rendaient compte. Plus t.ard on eut recours à
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