- /j4 = Pe11l·èlrc lro11v01·ail-on clans les :lrcliivcs rfc l'hfi· pilai Mauricien de quoi salisl'<iire la juslc curiosité dll lecteur. Ce précieux el si ulile étaùlissement faisait annHe ll cme11l célélm~t qnau·e mess es pour .les bien~ faiteurs de l'ancien liôpilal de Rumeyran, je ne sache pas qu'aucun nulre legs, religieux qui · dut jadis s'acquiller dans lâ chapelle de SL-Je~11i de Rumr.yran. soil passé à la chai·gc de l'ordre des Ss. Maurice Cl La zare. nur1u cl pass èrent · avec les biens de Mo111-Joux, les restes de lï1ôpil:d de Ru mcyr:rn ('i ). Je laisse ù d'autres le soin d'aller cherchrr dans ces archives bien de souvenirs honoral.Jles cl précic11x pour le pays d'Aoste; t•l j'ose assurer que 5es ad..; minislralenrs n'y mettront ancun obstacle, lis sont trop amis de la science et trop bons pour ne pas y consentir volontiers, persundés d'ailleu1·s qirn le.;; visiteurs ne se permettront jamais d'en rien emporter; Il ne faudrait pas juger du créJit de la maison hospitalière de Rumeyran par ce qui nous reste de sa petite chapelle, nommée dans quelques actes du no1i'1 d'église ; ·tel s que ce lu.i de la visilè ép i ~copal e de ' (1) Un manuscrit des religieux du Saint-Bernard porte: In capella sancti Joannis de Romeyran cele!Jrantur quotannis 40 missœ, cluœ cum cantu et ùuœ aliœ sine cantu: quoù fit hoc modo: in festo nativitatis sancli Jollannis l3aptistœ el' iH fes lo san cti Jo] 1a n nis evangelistffi ill œ missœ can ta nlur: in fe:;to aulem decollat. sancli Jollannis Baptistm et in festo R. .l o. ante purtam lati11arn non eaHlantür.
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