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= IO= gramme du S. Nom de Jésus, qu'une procession solennelle aura li~~u ch<Jque année _le jour de la Toussaint el qu'une messe d'action de grâcrs sera chantée le lendemain dans toutes les églises du diocèse. D'autre part il y est arrêt6 qu'outre les trois florins destinés à couvrir les dépenses publiques imposées par les circonstances, chaque focage donnera deux ou trois florins au Maréchal pour le remercier de son dévouement aux ïntérêts de !J vallée. L'assemblée prie M. Ilérard d'insérer aussi quelque jour ce docurnent dans le bulletin de la Société. Un mémoire d'un genre hien différent, mais néan· nHlins très-intéressant pour une Société pl<Jcée sous la protection de saint Anselme, est lu ensuite par son auteur M. le chevalier Gal, vice-président. L'uutcur cle ce souvenir de la Terre-Sainte a intitulé son mémoire: De l'authenticité dit tom.beau de let Sainte-Vierge dans la vall1!e de Josaphat. Il a vu ce mon11m<1 nl vénéré, il le dôcrit, el prouve que c'est bien Jj le tombeau de la Mère de Di~u. La tradition et surtout les témoignages de saint Denys l'Aréopagite, de Méliton de Sardes. de Polycrate d'Ephèse, de saint Epiphane, de Juvénal évêque de .Jérusalem, de saint Grégoire de Tours, d'Urbain IJ, du nécrologe des Grecs, etc, etc, fournissent des preuves abondantes en faveur de celte croyance d'uilleurs généralement admise, Après J'<Jvoi!· lu, M. le chcvulier Gal demande l' autorisation de . publier son travail sur un e' revu e étrangère, et l'assemblée la lui accorde.

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