Basa

i3 - en a encore aujourd'hui dans toutes les communautés religieuses, ·lesquels sont employés aux fonctions serviles de la maison. Nous avons vu que dans le règlement tracé par Mgr Bo11il'ace de. Valperga pour l'hôpital de Nahuisso11, il exigeait que ses fonda· leurs mêmes, auxquels il le confiait, fissent la pro· fession religieuse el en prissent l'habit. Pendant combien de temps fut.il ainsi desservi? ces convers, appel ès conversus, conversa hospitalis, appartenaientï ils à la famille de la collégiale, où la vie religieuse i.;elon 1'0rdre de saint A11gusti11 fut introduite l'année 1J33? le même nécrologe cite un grand nombre if autres personnes désignées comme coni1e1·s de SlOurs, conversus, conversa Sancli· Ursi, conversus, conversa nostra. Ou bien étaient-ils des frères, des sœurs hospitalières de saint Antoine, approuvés par Urbain Il ell 1095? N'étaient-ce simplement que des personnes qui se donnaient à la maison de St. Ours avec ce qu'ils possédaient, pour y remplir les fonctions qu'exigeait l'hôpital, où ils étaient logés c~ entretenus, comme cela se pratiqua dès la cessation au moins de la vie régulière au milieu du xvumesiècle ?....• Toujours cependant cet hôpilal a été sous la directio11 d'un chanoine de la collégiale chargé spéciillement do son adminislration sous le nom de recteur do l'hôpital, Placé qu'il élail sous la protection des SS. Pontifes (J) el des sérénissimes prince• de l'auguslt} (i) Honorius eps servm servorum dei dileclis filiis JonnA• NO priori ecclesie SS. Petri et Ursi de Augusta, ejusque fratribus .. . . Dilecti in dno fili i , vestris jus~is poslul<1Lio -

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