-:-- n3 = son u11ion à l' hôµilal de ville. A celle fin il offrait à S. E. le comte Dallery et aux Sgrs conseillers du grand hôpital de la ville, (hôpital Feslaz) la somme capitale de 4f OO avec tout le mobilier que possédait encot e leur dit hôpital de St · Ours , soit rleux formes de lits, deux couvertures, deux paillasses. huit linceuls et une IJ ~mquette, pour affranchir ladite maison dite hopilal de St Ours de la servitude â laquelle il pourrait être sujet ti la forme de ·1a sentence portee var le sénateur Jean d'Avise tannée 1563. Une telle proposition se faisait sous la condition « 1°. que l'hôpital de St-Ours resterait dès tors libre, et à l'entière disposition du Chapitre; 2° que les pauvres du bourg St-Ours ne seruienl point • exclus du soulagement qu'ils pourraient pré1,1rndre du dit hôpital de la ville; el 3.0 , qu' il y aurait louj.ours dans Je conseil d'administration de ce <}er• nier hôpila 1, un membre ou deux, ecclésiastique ou laïque ~ qui fussent du même bourg de St-Ours. n Ce projet ne se réalisa point.; l'hôpital de St-011rs ne cessait pas d'être au service des solfiais. fll le 1sme siècle arrivait. au déclin de ses .iours. Quelle affreuse agonie que celle qui précéda son trépas, on n'en pressenlait pas encore les horreurs, Je 4 mars i 782, qu'une transaction se passait entre le chapitre de la collégiale el le conseil du bourg de St-Ours. Celui-ci, pour sa commune, autorisé par le baron Vignet des étoles, Intendant, assisté de MM. Monge· nis el Réan déclare: " 1° , . céder au vénérable « Chapitre Lous les droits que la commune po11rr ait " avoir sur la maison. de l'hôpital située dans le
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