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== 94 == « Bo111•g el l'affr<1nchir a11 besoin de Ioule se 1 · ,· il ti rl~ <i d'y recevoir des pauvres 011 des pèlerins, po111· " que Je dit Chapitre pui~se librement disposer de " celle maison ainsi et comme il verra à faire 2°, « il s'oblige à lui pnycr L. 2750 dans trois ans avec. « intérêl au 4 010. El le Chapilre de son côté s'obli• " ge de bâtir, d'après sa manière de voir seule, e l " de maintenir à perpèt11ilé le pr,esbytère paroissial "- du curé dé St-Lnuren!. la commune rnstanl char• " gée de la sacristie, du chœ11r, de l'église de St- « Laurent, des vases sncrés ete. » Bienlôl la maison dite hôpital de St-Ours fut vendue par le Clrnpitre, avec plusieurs autres de ses propriétés, fermes el objets 11récieux, pour complé.:. ter la somme énorme pour lui de 170,000 francs et plus qu'exigenil l'impôt extraordinaire porté par les ' . édits du 28 décembre 1797, du 51 décembre 1.799 à·Toccasion de la guerre, elc. Toutefois l'amour dps pauvres, comme inoctrlé dans les artères de ce Gorps pai· son fondateur sainl Ours, a survécu à tous ce.;; bouleversements; il a ré· sislé à Lous les conps démolisseurs. Une caisse tout à fait étrangère aux fonds de l'hôpital, est restée dis-'- ponihle au prolll de l'indigence. Elle rappelle que le chapitre de la collégiale de St-Pierre cl St-Ours a su toujours penser au soulagement des pauvres. Divers membres de ce corpg sécularisé ont laissé tous leurs avoirs à celle œuvre pie, dont les revenus s'élevaient à la fin du dernier siècle êl inille et quelques francs, et aujourd'hui il deux mille. Dans la sP-rie des sièrles f!UÏ Sf' S<lfll rcon ll'1 ~1,

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