=21 = en poursuivnnt la lecture de son mémoire sur le B. Boniface de Va!perga. Ce dernier chtipilre. comme on l'a dit, lraile du culte re11dù au saint évêque d'Aoste. Les litres établissan t ee \cu lt e son l au ssi nombreux que concluants; ce sont le décret de Mgr de Bersaloribus, 48 . ans après la mort du bienheureux, la mention faite du saint prélat dans l'érection de l'autel de Sie-Marie à la cathédrale, l'ordre de par le chapitre de tenir une lampe ::illuméc devant le tombeau de Boniface, l'honneur d'une statue dans une niche au pourtour du chœur, les prodiges allrihués à l'intercession du saint évêque, les visites multipliées de ses restes vénérés, les soins et le respect dont furent environnées ses reliques, el le titre de bienheureux donné à Boniface de Valperga depuis sa mort jusqu'à nos jours, par tous les historiens italiens el français qui ont parlé de lui, par une foule de calendriers imprimés en Italie, par Je nécrologe de l'insigne collégiale de SlOurs el par les inscriptions gravées sous .son porlrail. M. le chanoine Béthaz est invité à continuer aussi 1n lecture de son travail sur Valgrisenche et en particulier sur le château de Montmayeur à la porle duquel il avait interrompu sa description dans la séance du mois de mai, el où il la reprend en celle circonstance. II pense que la dénomination portée aujourd'hui par l'antique castel, vient de monte rneliori, peut-être par antiphrase; il le croit d'origine sanasine, il donne les raisons de son sen- ' tirnent el rejetant la version qui en fait le refuge des comtes de l\fontrnayeur de Savoie, il conjecture
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