_5_ Le chœnr csl sëparé du sancla sanctorum par trois marches er. pierre. La première marche repos<! dans Loule sa lt>ogueut· sur la ·pal'lie haute de la mosaïque; el, dans le sens de· CCllfJ longueur, Sii!' une ' I:irgeur de six millimètres, les p·e1its eulies en émail forment un bord serisib'lemenl horizontal. Au contraire, sùr une largeur phis grande. ils pa· missent déprimés. Je ùis, ils paraissent, car cc n'est pas, à vrai dire, une dépression qu'ils ont subie, mais une diminution produite par un long frollemenl. Or, elle n'est pas la même sur Loule la JargPur de 1a mosnïque. Peu sensible au milieu sur une Jong11e11r de om' 7oc' efle est fortement prononcée soit du côté de l'épître soit dll côté de l'évangile. La dépression, à partir du bord dont j'ai parlé ci dessus est en moyenne de 28 millimètres. Ces considérations faites, j.e me det'nandai: Pourquoi celle dépression n'e~t·elle pas partoùt la même sur celle par:ie de la mosaïque? Qu'est-ce qui a p11 1i:1 protéger là où elle conserve Je niveau Ju bord sur 1cqne1 per'son ne ne par a î l avoir p mais m i s 1, • pied. MM. les chanoines en se rerYdanl à leurs st~tllrs passent indifférernmerit sur un point quelconque de la mosaïque. Les minislres de l'aute! passent plus soùvent même sur le milieu que sur !es côtés dD la mosoïque. .Je conclus' . el je crois nvcc raiso11,. que, pendant longtemps, tout passage a dù êlre interdit sur cet espace si peu usé du monument. C'est ce qui rës111le en effet d'un passage de l'ouvrage manuscrit de M. de Tillier, le voici: ( François de Challand premier comlc de celte
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