Basa

= 14 == est confié à deux sœnrs de Sl. Joseph, depuis plus de trente aus, el moins d'embarras empêcheront M. le Recteul' dans la vigilance et les soins spirituels de l'hospice. Je ne parle pas des réparations dispendieuses qui se sont faites dans la maison, et de tant d'œuvees de charité auxquelles il a con· couru généreusement. Mais quant au règlement organique donné par Sa Majesté en 1795, je ne sache pas qu'il ail subi de modifications. J'avoue d'ailleurs que je n'ai fait aucune !'·:>cherche sur . cet élabiissernenl, je ' ne connais ni ses divers offices, ni leurs altrihulions, parceque, tout antérieur qu'il est d'un' siécle à la fondation · de l'hôpital Mauricien, il n'appartient pas à la classe des ancien:. hôpitaux qni fo111 Je sujet de ce mémoire. Je n'en ai parlé que transitoirement, pour citer le bien immense qu'il fait el exprimer des vœux pour sa prospérité· constante. Puisse donc cet établissement continuer ses distributions de vivres à domicile, le logement el l'entretien des pauvres récouvrés, au nombre aujourd'hui de soixante environ, avec la même marche prngressive qui, je n'en doule pas, a foit quadrupler ses ressourses el ses œuvres de bienfai· sance depuis Je commencement de ce siècle. Je citerai encore les recteurs, dont les noms sont à ma connaissance. Ce sont: f · En 1687 Millet Léonard Joseph feu George de St. Oyen, mort, Chanoine Pénitencier de la Cathédrale d'Ao&le, le 8 déc. 1726. 2. 1696 Festaz Gaspard de Gresslln feu J. Pierre,

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