= 17 = Révde mAre Supérieure M. Fr. Agnès Florard, la pension cle la tourière, qui devail assister les malades, avait été fixée pnr Mgr l'évèque à L. 200 annuelles. Mais le taux de l'intérèt ayant été rabaissé du 5 au 4 O[O, celle pension fut réduite à L. 160, pour ne pas priver de celle somme de L. 40 les pauvres malades, au service desquels l'acte de fondation de cette œuvre léguait le surplus du traitement de la tourière. Réserve néanmoins fut faite en présence de Mgr, lors de sa visite au monastère le 27 nov. 1721, d'exiger ces L. 40 pour le couvent, dès que Sœur Jeanne Antoine ne pourrait plus, à cause de son service auprès des malades, rien foire au profit de la communauté, ou qu'il fallut l'aider auprès des malades. Le capital cle ce fonds . .. était imposé sur le général clu pays et M. le Trésorier payait pour son revenu annuel, au 4 Ü[Ü, L. 341 , 07. « M. !'Archidiacre René Ribitel donnait 1°. le 16 « juin '1702, au Couvent de la Visitation d'Àoste la « somme capitale de L. 4726, 70 donnant un revenu << de L. 136, 33 imposé sur le Pays, (se réservant « pourtant livres cent annuelles, sa vie durant,) « pour l'entretien d'une fille ou sœur tourière des- << tinée à servir les pauvres malades; ce service cc devait se faire sous les ordres de la Supérieure, « sans obligation de remplacer celle sœur tourière, « en cas de maladie, jusqn'après sa mort. Celle-ci « ne devait recevoir aucun pauvre sans l'ordre de M. « le curé, ou de M. le vicaire de ·St-Jean d'Aoste. a L'Évêque et !'Archidiacre pro tempore seraient « les direcleurs perpéluels de celle fondation. 2 ..
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