Basa

== 18 = « 2. Lt: 2 nrnrs 1708, M. Ribilel ë:Jjoule à sa fon· u dalion el donne au couvent suscilé L. 11600, aux " fins de pourvoir au remplacement de la sœur Lou- « rière, en cas . de maladie de celle-ci, pour que « les rnalë:Jdes n'éµrouvassent pas d'inlerruplion ua11s « le service qu'elle leur reudail, el ë:1lin Je donuer " la Béuédiclion du S1 Sacrement à perpéluilé Je « \'endredi . « 3. Le 22 mai 1715, M. Ribilel charge le couvent « de fournir le bois et charuon nécessaire pour faire « les bouillons des pauvres malades de la cité, et << lui donne à celle fin L. 1200. Le '19 janvier 17'16 j « M. Ribilel élant mort, ayant laissé ses héritiers " les pauvres el les élèves du séminaire, le couvent « a reçu pour la part des pauvres L. 2800, (c'est- « à-dire les 1600 et 1200 L. indiquées). Le Lt>slaleur " veut que, sur la part des pauvres malades, on « prélè.ve L. 50 annuelles pour le couvenl, pour le « dédommagement de l'adjonction du service aux « pauvres malades du bo11rg de St-Étienne avec cet:x « de la ville, ayant encore destiné à ce but au « couvent un pré de dix quarlanées. n Le manuscril d'où j'ai Pxtrait ce qui précède ajou,.te, en parlant dn couvent: « l'on a satisfoil à " toutes les autres obligations, el l'on fournit jom- « nellement le bois et charbon nécessaires, et « plusieurs autres petites choses pour contenter la « fantaisie des pauvres malarles. De plus, le couvent « nourrit par charité une pauvre tille. » Que ne puis-je savoir si ce service se fois<1it dans la maison des cliver,;; malades, ce qui pilrail impossible,

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