Basa

, = 22 = septembre '1752, qui prononce sur le passage des hif:lllS de la Prévôté conventuelle des SS. Nicolas et Bernard, dite de Mont et Colonne Jaux à r Ordre des SS. Maurice et Lazarn, pour autant qu'il· s'en trouvait dans les Etats de S. M. Je Roi de Sardaigne, fait une mention formelle de l'hôpital de Marché· vaudan (1), qui devient ainsi une propriété de l'hô· pilai Mauricien d'Aoste. Telle fut sa fiu après quatre gros siècles et demi d'existence, el dès lors cessé!, dans celle n1Dison, J'hospilalité qu'y foisait donner eu 1752 encore son dernier recteur J. A. Volta. Mais e n quoi consistait celle hospi lillilé ? A mainte11ir répond Je lexie cité de la bulle, deux lits soit deux mansiones pour y loger les pèlerins. Je n'ai su découvrir ni l'acte ni l'époque où le nombre des lils, à te11ir dans fbôpilal de Marchèvaudan à la disposition des pèlerins, a été réduit à deux. Dans la fin du XVI siècle, les ilCles de visite de f 584 par Je vicaire général Barthèlemi Mupheis, el du 23 uoùt 1596 par Mgr Ferrerius exigent trois lits. Le premier clem<rndait à l'admodiateur de cet hôpital, le s•. André Vu lien ch y, que lies e 11 éla ient 1 es obi iga tio,ns, et i 1 déclarn avec serment qu'on devait mat11te1·1ir trois. lits et du sel pour les pauvres qui y reccvrnie,11t l'hospitalité. Le second fait écrire ùans le procès verbal que l'obligation imposée esl de lenir trois lits, sans que le recteur ne fournisse nucune nourriture (i) Ac unum hospitale de l\'larchevaudan nnncupatmn diGtill civilalis August. .. cum onere manntenendi duo cuhilia :-e 11 mansiones pro peregrini~ rec ipiendi s.

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=