= 27 = qui fuit face sur la rue, le logement dn prêtre recteur de l'hôpital <le Marcl1évaudan. Une place sépare celle maison de l'autre plus gra1·1de que vous. voyez vis-à-vii;:. Là élail J'hôpilal.., au delù el au nord de la même, vous verrez son jardin el le resle du local. Tenez-vous à n'en pas déranger les honorables maitres actuels? repass0ns de celle allée dans la rnc, e11filons-nous dans la ruelle Geoffroi Ginod, que nous rencontrons de sui le à nolre gaue;he, mais av;inl de toucher à l'édifice qui termine la ruelle ù l'ouest, fixez, à votre gauche toujours, la porte d"enlrée de la partie rnslique de la maison, le mur élevé que surmoule une jolie croix en fer, plongez voire œil duns le jardin qui suit au couchant jusqu'~i l'autre mur de clôture, et voilà J'emplacemenl, voilù l'enclos de l'hôpital en question. Je m'en suis assuré à n.'en pouv0i1· plus douter, el mes recherches furent plus J1eureuses que difficiles. Le sécrélaire cadastral de la ville, M. Chappuis, auquel je me suis adressé pour savoir ce qui piqu;1it ma curiosité, me répondit d'emblée: c'est la maison Villot. Informés bientôt par leur voisin Jean Baptisle Martine!, (ancien cui· sinier du séminaire) toujours si officieux el plein de dévouemem, que je souhaitais savoir si leur maison avait jamais appartenu à J'hôpil(JI Mauricien, M. Villot, fils puîné de M·. le chirurgien Villot père, et Mme son épouse s'empressèrent de me faire dire qu'ils avaient sur ce point des rçnseignem enl s positifs, el qu'ils se feraient un vrai plaisir de les rnellre à ma disposition. J'ai profilé de leur obligeance pour visiter el voir de mes yeux les restes
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