=M= tirée des ::irchivcs mauriciennes de Turin en 1850. Je ne puis que les remercier de leur !Jienveillunce; SS. Maurice et Lazare, auciuel enclos confine du levant le creu de fumier de Joseph Mollin, en suivant le creu de fumier du sieur Coccoz, en suivant la ruelle qui tend du Marchévaudan à la rue de Malherbe; clu côté du midi et revenant aù levant la maison de Joseph Viérin, en suivant les domiciles de Joseph Mollin et revenant au midi la grande rùe de Marchèvaudan. Du côté du couchant l'enclos des domi- ·ciles de Joseph Vautier, acquéreur des hoirs Godioz, revenant au midi le même enclos et ensuite au couchant le dit enclos du dit Vautier; du côté du septentrion la chapelle de StVincent, ensuite revenant au couchant par recoude et retournant au septentrion les domiciles de Jagques Martinet, et en suivant les domiciles d'un certain Bois; de l'estimation les domiciles civils et rnstiques, cour, places et jardin de quatre cent vingt quatre toises: le tout si tué riè1'e la présente cité, à la rue septenti'ionale de Marchévaudan, dù côté du cieL pour regard des domiciles tant civils que rustiques, l'air, et devers la terre, la terre. Avec les dits domiciles, places et jardin, lem· vraies fins, fonds confins; droits, entrées, sorties, passages, distilloü's èt tous autres bons us accoutumés, appartenances et dépendances quelconques, à la forme qu'ils ont été jusqu'aujourd'hlli possédés. Laquelle vente; a étè faite pour le juste prix et somme de cinq mille sept cents livres de vingt sols l'une, ·monnaie courant.e en ce Duché, sous la déduction de la somme de vingt livres pour le capital de la cense de vingt sols par année dûe pat dit enclos au recteur de la chapelle de St-VincRnt. Sur quoi tout, Nous juge délégué susdit prenant en cons i~ cléra Lion les informations prises et ci-devant mentionnées. clcsqnelles il apparait de l'éYidente utilité qu'il résulte de
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