BASA
~Hl - jui ava:ent été s:;parc)ment inféodés à diverses époquM, noyennant une rente annuel le, et les avoirs qu 1 elle pos– ;érJa:t en cens constitués, a\'aient déjà subi , avant la fin lu siècb dernier, le sort des revenus de cette espèce. )uant à la maison de l'hôpital et à sa chapelle, elles ont lisparn depuis bien longtemps, depuis que, tombant en ·uines de ''étusté , et n'ayan t plus leur raison d'ètre, lo!n l'èlre recon~truites, furent entièrement démolies. La gé- 1ération présente ne sait pas même indiquer l'em– )lacement précis qu 'elles occupaient. l\:lais la transaction , ~itée ci-devant du premier avril 1426, ne laisse pas douter lne la chapelle et les domiciles de la jJfaladière étaient mr la grande rou te du côté du nord. » Le cours impé– « tueux, y est-il dit, de la plus grande partie de la Doire · cc va ronger !e flanc de la grande route qui touche par « le devant aux murs de la chapelle et des édifices qui « la joi gnaient : ex impetuoso descensu maioris partù aque « flwvii Durie tcndentis directe ad soli corrosiori.em lat,eris « strate publice herentis a parte anteriari muris eiusdem « capelle et edificùmrn ibidem con 'iguorum » Mais quand est-ce que la chapelle et l'hôpital auraient ~té démolis ? Le corps de hât:mwts qui se trouve au ;ommet du village de Meysettaz (saint Christophe), confiné rn nord par le gros rui sseau dit Rû-Baucl: n et servant à la cultur\l de la fe~·me et à I'habitatio:: du fermier, a été
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