BASA

100 - acheté, en 17 88 seulement, par Mgi' Soiar, aYéc ses adhérences. Un extrait cadastral, délivré par le sècréiaini M. Laurent Te'rcinod en 1796, consigne comme nouve tlès acquisitions 1 ° sous Je n° 753 domiciles, plàces; pi·é à Meysetta; 2° sous le n° 7 54 champs, chà!aigniers et p;é au même vilfage :Meysettaz fai sant un tout <wec les autres biens de la Maladière, savoir : sous le n° 1 107 pré, marais, et bois à la ~fàladière, et sous le n° 195, pré, maraiR 1 pté- et champ à la dite Maladière. Leur étendue totale est dé 28516 toises et cinq pieds, mesure ancienne. Les biens désigrés par les deux derniers numéros 107 et 195 sont dits exempts de tailles, comme étant d'ancien patrimoine de l'Eglise. Aucun bàtiment ne figure plus icL En remon- . li.tnl au XVII siècle, je trouve J'acte d'emphytéose passé par le recteur de la Maladière, Mgr Vercellin, évêque d'Aoste, Je 26 mars 162 4, indiction VII au sieur Gerlier Pierre feu L<rnis, citoyen d' Aoste, de tous les biens et droits (1) de la Mal adière. La description qu'on y fait de ces biens les divise en deux parties séparées par la grande (1) Out re la joui ssa nce des biens et rèvenus de fa ferme, ·le rec ten'r de la 1\fa ladi ère donnait au dit Gerli er le droit de tenir son bétail en été sur la montagne de Chaléby, et celui de jouir en pai x des privil èges, droits et franchises dont johissa ient les autres habitants du mand·ement de Quart, teis que pâ tu1·age, bois se-c et bois mort, pour autant que le com po rtaient l' admini stration et les biens de l'hôpital et de la chapell e.