BASA
104 - tYrnins, les i·estcs ci:e [;ancienne iéproser:e, ou des const1'11è.. tions faitês exprès èt un iquement po nr l'exploitation des bi,ens, cet acte d'emphyteose et les enquêtes fa ites d'office à ce tte occasion nous donnent à comprendre que la cba– rH'll e de sain te Madelei ne et l'hôpi tal des lépreux, dont il n'cRt p'aS dit une syllabe, àvaieht été détruits plus d;un silwle avant ce tte date. A !"appui de mon induction, je lis dans un' inventaire des biens possédés par Mgr Anto ine Des-Prez; rédigé par le no taire Claude Vaudan avec la date du 16 juillet 1 455 : )) n° 4 item qued:.im donnes qu~ alias fait (acta pro i"nfinnis di:cte maladerie Urta cum pla'ea retro sita. >J Cette maison, qui a été bâtie autrefois pour les malades de la dite Maladière; ne ser,iit-elle pas l'ancien hôpital habité pa1• les lépreux, et ces mo ';s faite autrefo:s aliis (acta ne nous apprennenf,-iJs pas que la maison, jadis hôpital, avait changé de desti nal'i(m et ne servai,t ,,filus alors que pour l' usagè dtI ferm:cr ? Ce t éd:tic tJ n'est· pas toutefois le seul mentionné pa1' b notaire Claude ·vandan; il parle encore de deut au tres : un1 eti~i m (dom ~s) cum quadam alia platea existentrJ prope insul:un, et itna eliam cum q·ttadam insu/a sita ibi lem subt•ts stratan pu!JH~am. )> Cette dernière 1iiaison n'e·xistait plllssous Mgr Vercellfn 1 et ne figure point dans les actes de 1624. Quan t à ia chapelle– il n·en est point parlé. De là je serais ten té de conclure que la démolition de la Chapelle et la fi n de la ~falatLe:'é,
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