BASA

~ 125 - qllah'e pàuvl'es, et <le leur maintenir le chauffage. JI ' est dit sous la juridiction du prieur. Ces ex pressions indique- 1·aient-elles que la liberté accordée en 1285 n'aurait pas lllé de longue durée, ou signifieraient-elles seulement qu 'indépendant qu'il était de tout autre corps moral, il n;était pas exempt de la juridiction du prieur <tui étai ! le Curé de la paroisse ? Nous lisons dans J"bi stoire de l'église paroissiale de ~hambave par le révérend Pierre-Etienne Duc ('1866 ), « que cet bùpital était encore en acliYité de service en 1554, ~t que le 28 juillet de 1 a dite année il y mourrait un rauvre d'lssogne, qui y etait 1 1 es té quelque temps. De ~0 me, en 1551, il y décérla une pauv.re fille qui l'habi– :ajt depuis longtemps. Mais vers 1641 cet hôpital, qui ivait alors cessé d'être en usage, qui était. découv er~ et .out en ruine, fut vendu par mess ire Melchior Ladvoyer, m qualité de Syndic du Bourg de Chambave, à François– ?aul Bernard , de Hunet. en Faucigny, notaire ducal, babi– ant au dit Bourg, pour la somme de cent et vingt livrt's. >i D'après la même histoire, l'hôpital de Cbambave « aurait :u; construit un peu au dessus et au mrd d,u Bourg ; on mvoyait. encore la cave, bâtie à ses fo.ndements, l'année 1702. » Ceci résulte d' une attestation écrite retrouvée lans les rarchives. de l'évêché. Toujours les éYêques ont :tendu leur sollicitude ~1 l'entreti en et àJ la bonne tenue

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