BASA
~ flh'"rêf,aimt., soit .e» alfant, soit e·1i veM11t, avec leur 11wnlur1J, Î(Jt leur équipage, les voyageurs qui éiaient travaillés de quel~ 'f}Ue maladie-. Là aussi logea1ent, au besoin , les autres passants. Il y avait d:onc dans 1~ village de Chesod à 'Torgnon une maison de refuge, où les voyageurs, qui prenaient cette route, trouvai ent <le quoi réparer leurs forces et un logement dans leur ex.cursion. Il pa!'aît q . e la commune l'avait procure elle-mème sur un fond:; de la propriété du seigneur de Cl y: car un acte de reconnais– sance passé en. fav:eur de ce seigneur par les communiers rde Torgnon ~ 20 mai 1 410, à l'endroit de la répartition <les cens à lui dûs, porte qu'on payerait annuellement douze deniers pour l'hospice d'Andruet de Cltesod, à la charge de .Jaquemin feu Jean Tutel. lacqueminus ftlius quondam Joannis Tutelli pro lwspitio Andruti de Ckesod duodecim denarios .debet solvere annuatim. Cette preuve ne serait pas à rejeter, :si le mot hospice n'est pas ici pris tout :Simplement pour h maistin qu"avait habitée Andruet de Cbesod, laquelle serait passée au· domaine de Jaquemin Tutel; mais il ne :serait point ô.it si cet hospice, au cas que telle en soit la :signification, était un vrai hôpital .où l'on était reçu gra– t uitement, ou plutôt une hôtellerie ordinaire, où l'on était fogé à prix d:argent. Les no.tes susdites de M. Gat ajoutent : i ° Cette ancie.nne roule n'est pas entièrem,ent effacée~ et on en. retrouve des
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