BASA
t< morte sur ceux qui mo urront en passant à Ch atillon ~ t< de pl us une vigne en cogli, to us ses droits sur les « hommes et biens du village berzino : en autre le pré « rond ,et la maison coexistante : enfin la montagne du c< champ cornicio avec pâturages dépendants. 1160. » C'est donc au vicomte d'Aoste Boson II, père de Boson lII, premier cbef de la branche des seigneurs de Chatillon que ce bourg doit son ancien hôpital. Admirons sa géné– rnsité dans la première do ta tion qu 1 il lui constitue. N'ad– mirons pas mo ins la promptitude avec laquelle tout s'exécute. Douze ans ne se sont pas écoulés dès que la ·donation s'es t faite, et déjà le prévôt du Saint Bernard Ulri c ·et ses religieux l'ont acceptée, tout s'organise, les :travau x nécessaires se font et déjà l'hôpital de Chatillon figure comme un domaine spécial et distinct du Mont– Joux en juin 1177 dans la balle du Pontife Romain Alexandre · lII. Qui nous dira maintenant quelles ét aient l'étend ue, la situation et la valeu r de celte donation ? Qui nous apprend ra quand et comment ces biens passèrent en d' autres mains, quels ont été successivemen t les pri n·– ci paux. bienfaiteurs de l'hôpital de Chatil lon (1) ? ·ce sont (i ) Le nom d'u n seul d'entrn eux a trave rsé jusqu'à nous 'les :six siP.cles qn i nous séparen t de lu i, cel ui du rév..Jacq ues de ·SasteWoae CapeUanus, q ui da ns son testamen t, fail le
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