BASA

-de è haÜant, ba'rou de Châtillon, etc., ayant conçu le projet de doter cet'è bourgade d' un Couvent âe Capucins, crut ne pouvoir miènx faire que de transformer en couvent l'ancien h'ôpital de la famillè. Il aila lui-même au-devant ùe tous les murmures qui auraient pu naître à l'occasion de cette transfo rmation, en fondant pour l'a venli~ des bourses gl"atuites à l'hôpital d'Aoste pom• les malades du district de Chatillon. » « Tous Ies infirmes et con, 1 alescents, l1ni se thmvaknt alors dans l'hôpital de la Ma ison-Challànt, fu.rent transpül'tés à Aoste à ses frais , et ceux qui ne purent supporter les fatigues de ce transport furent confiés au refu ge voisin des chanoines du Grand S t~Bernard . Cette évacuation étànt ter– minée en 16:26 , on entreprit immédiatement les travaux •lu Couvent qui furent achevés en 1633. Au mois de JLiil' et de cette même ann-Oc, Mgr Vercellin, assisté d'un ·nombreux clergé, installa lui-même solennellement les rnligieux de saint Françoîs dans le monastère élevé par la pieti ~e générosité du ·baron de Chatillon. » Loin de moi la pensée de vouloir rien enlever à l'éclat de l'illustre famill e de Challand dans ses œuvi'es multipliées de bienfaisance publique, si je me demande ·pourquoi se fait-il que je n'aie rien su trouver à l'appm 'de cette tradition du second hôpital de Chatillon dit hôpi- 1tal Cballant, que le .baron Paul-Ei;nmanuel métamor..phosa

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