BASA

-· 149 - M èouvènt dé Capucins dès 1626 ? Pourquoi faut-il que Mgr Ferreri, après avoir vi!!ité l'hôpital du St-Berurd ou de St-Théodule, n'ai t pas visité l'hüpital voisin que la rue seule sépat·ai t du premiet·? Et s'il l'a visité, pou.rquoi n'en dit-il pas un mot , d'autant plus qu'il aura été florissant tle prospérité, puisque vingt~sept ans pl us tard seulement, lors de son changement en couvent, on dût faire trans– porter à Aoste une pai;tie des malades qui s'y trouvaient, et confiet• l'autre à l'hospice voisin des chanoines du G tand-S t~Bernard ? Comment se füit-·il que les hôpitaux d'Aoste ne nous conservent aucun souvenir des dons et des bourses gratuites que reçut l'hôpital de la cité où ces malades de Chatillon furent alol's admis et soignés ? Pour– quoi enfin, dirai-je encore, dans l'acte relatif à la fondation du dit couvent des PP. Capucins à Chatillon, reproduit tex– tuellement aux pages 195, 96 et 9'7 du Mémoire his tori– que sm· Mgr Vercellin, donné par M. le chanoine Joseph– Auguste Duc, (au1omd'hui évêque d'Aoste), pourquoi la niodestie du Baron se borne+elle à dire : « Nous avons " comme Seigneur du lieu .et très-alfecttonné de c~l ordre, reçu (( et 1•ecevons lei dits Pètes Capucins rière notre jiwidiction « de Chati"lton pdur y édifier et bâtir un couvent don leur cc coitlume, » sans rien ajouter qui se rapporte à la donation qu'ir aurait faite, . ni au local que le couvent ocëuperait ? Cet' acte est rédigé par le secrétaire d11 baron 10

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=