BASA

150 -· sùr la place de son château à Chatillon, le 22 màl 1 5 '1ô:2 6. Signèrent ensuite comme suit: Paul-Emmanuel de ·Challant recevant, le i•év. curé local, Jacques l\fapheüi, tren tè particuliers de · Cbatillon, le rév. Père Gardien des Capucins d'Aoste comme aéceptant, quàtre autres Capucins et le secrétaire Charles de Capris. Dans cet i tat de choses, j 'eusse imaginé que Cé qui à donné lieu à cette- idée d'un second hôpital pourrait bieh être la maison du saint Ber– nard exclusivement deiJtinée à l'hospitali té, séparée de l'habitation du recteur et dite proprement l' hôpital; déserte ~t tombant eh ruines en 1596. 11 n'est pas dit qu'elle n'ait pas été située du côté opposé au sud-ouest de la tue. Le vicomte Boso en ayant été le fondateur; elle eût pu être appélée àussi hôpital de Challand, et assurément elle n'aurait point été cédée sans le consentement du descendant, qui vivait alors, du dit vicomte. Ou b i~n pourrait-elle avoir été rebâtie dès 1596 par les largesses de la famille du baron, et servir de refuge aux malades de la Commune ? Mais l'histoire ne se fait pas avec des suppositions. Que ne peut-on voir ces docun--..ents des archives de la maison Challant, et ces minutes du notaire Carrel mentionnées dans un manuscrit de 18 49 du R. P. Archange capucin, lequel a fourni à M. Noussan la matière de sa notice. Leur lecture, j'en suis per– suadé, nous prouverait l'identité de l'hôpital de Challand

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