BASA

- t53 - qu'en a fai le M. Aubert dans sa Vallée d'Aoste. Saint Vin– cen l a les hôtels, les cafés, le beau monde, le casino, les agréments, dirai-je, et tous les dehors d'une peti~e­ ville, improvisée à la campagne. Il doit ces avantages à son eau minérale. L'appel de ce chevalier : « Vous « tous qni souffrez, vene:i ici, vous y <Jubliere:; bien vite– « les maux qui vous accablent 1 » cet appel, dirai-je, a été entendu au loin; et l'expérience en ayant démon– tré la vérité, on ne . s'y rend que plus· constamment.. C'est donc en vain que je chercherais ici les trac(ls d'un hôpital ou d'un hospice quelconque. Pardon :. Saint Vincent a un ho~pice; c'est la maison qui confine aµ levant le pré de lçi foire , ce pré contigu au nord d~ la rue qui semble séparer et détacher du pays s~s premières maisons au couchant et en faire comme un petit faubourg. C'est l'hospice Freppaz, du. nom de son fondateur, mort en 18 U curé de cette paroisse, qu'il avait desservie pendant plus de cinquante ans révolus. II est exclusivement destiné à l'entretien et à l'éducation des pauvres enfants, qui y sont logés, npurris ît surveillés peQdant le jour pour profiter de l'~cole communale et de$ catéchismes du rév. Curé. Le nombre des recouvrés est . . annuellement de trente à quarante, alternant les. sexes. Voici la notice de cet hospice que me communi– que M. le chanoine N9U.§~an, ci-devant curé de cette

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