BASA

~ 167 -- 120 nG 56 . Elle appelle cette œuwe r.·t!dP pi'.a fl nrcesstJ.– âa pauperi&us continuo transeunii/ius inde. L'evèqne y rése rve à \'Ordinaire 1 1° l'institu tion so it la confirmat ion da recteur qui s3rait c~i o isi et présenté par les curés de Sain t-Germain et de No tre-Dame de Monlj ovet, 2° le cens d'u ne livre de ci re annuelle à payer, à Noël, à la mense 'épiscopale par le dit .hôpital en témoignage de reconnais– sance, :3 ° le drnit de le ' isiter, lorsqu'il ferait la ·visite des cglises de Saint-Ge rmain et de Notre-Dame de Mont– jovet. Le mc\me acte parl e des frères convers et de8 sœnrs converses, qui seront reçus et établis par les curés des églises prenommee~ et par l'hospitalier, selon qt1'il se ra plus utile à !'hôpital : c< Fratres vero et sorores conversi « et converse qu.i recipiendi fuerint in lwspita!i iam dicta « per 1wedictos redores eeclesianun montis ioveti, c'est-à-d ire « de S:in t-Germain et de Noi re-Dame, car la paroisse « de Sai nt-Germain appartenait et apparlirnt encore au– « jourd' hu i a la Commune de Montj o1et, et ministruin « 1]1sù1s !tospitalis recipùmtur et instituantlw, prout utilitati (( !tospita(is vidcrint Pœpedire. » On a déjà vu dans la 3"' 0 partie de ce mémoire (c~ w p . 3 page 35) qn e parfois les hôpitaux avaient pour les desservir des personnes q:ii se donnaient à eux avec leu rs biens, en prenant de I'evr– que l'habit religieux, promettnnt obéissance et fai sant pro– fession entre ses mains. Cette supposition que l'ordonnance

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