BASA

- 175 -- - 'Mais ce qui étonne c'es t que ni au r;ommencement du quin– zième s:èclc, ni à la lin dit seizi ème siècle, on n'y tro1n·e point de desserrn nt particuli er; n·r en aurait-il jamais eu? Ce tte messe dtt dimanche et ces funéraill es s'y seraient-ell es célébrées IJahiluellcment, et depui s quand , par le curé ou le vica ire de l' ég ltse-mère de Notre-Dame?... A d'autres la réponse. Le procès-verbal precité de la visite épiscopale de ,1 41 6 llj oute : Item capella de P!ou, que dicitur sci lolwnnis !tie– roso1imitani, dans celle paroisse se trouve aussi Ia chapelle de Plou qu'on appelle de sainl Jean de Jérusalem. C'est là que le pauvre et le pèlerin rencontreront une seconde maison de refu ge, avant de toucher aux limites de son territoire. Laissons donc le palais et l'église nouvell e, où commen– ce le joli et vaste bassin formé par la plaine qui les sépare du bourg et le sémicircul aire et renommé coteau de Vi– gnola; après deux à troi s cents pas, le chemin se repliant et faisant un demi-contour vers le couchant semble inviter le voyageur à donner un dernier salut à cette première et majest ueuse partie de Montjovet. En effet, ce point dé– passé, on n'en voit plus rien, pas même l' ombre de son anti– que et éminent château. La route redressée et sui vant la direc– ti on de la vall ée, du nord au midi , parcou rt trois longs kilomè– tres, presqu e touj ours encaissée entre la Doire et la roche

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=